Tous nos plans tombent à l’eau. On pensait louer également un scooter pour voir les parties de l’ile qu’on avait pas faites hier. Mais nous n’avions pas prévu qu’il tomberait des trombes d’eau… c’est vraiment rageant! Surtout qu’on doit prendre le bateau de retour ce soir. Nous serions bien restés un jour de plus mais pas de bateau de retour le lundi. Il aurait fallu attendre mardi, ce qui faisait un peu long….
un peu déprimés et un peu desoeuvrés, on regarde la mer…et la pluie… vraiment c’est pas de chance ce temps! Vers le milieu d’après-midi, la pluie s’arrête. On en profite pour se promener sur la plage. Elle n’est pas magnifique mais elle est si calme.
On se fait interpeller du haut d’un balcon d’une luxueuse villa par un américain d’environ 50 ans, qui semble habiter avec une philippine (plus jeune bien entendu…). Il engage facilement la conversation et semble ravi de parler à des occidentaux. Ils ne doivent pas être très nombreux sur l’ile. Nous, c’est le 1er qu’on voit.
Au bout d’une heure de marche, on se dit qu’on ferait mieux de poursuivre jusqu’a Larena pour aller acheter nos billets de retour, qu’on avait pas pu acheter avec les billets aller, ce serait trop trop simple…
A Larena, on dégote nos 2 tickets de bateau de retour sans problème, c’est un miracle. On retourne a l’hôtel récupérer nos sacs. Ils étaient vraiment super gentils dans cet hôtel, de vrais amours, aux petits soins…bon, c’est sur, on était aussi les seuls clients, et peut-être même les seuls touristes de l’ile..
on a bien aime cette ile, tranquille et authentique mais on reste sur notre fin car on n’est pas reste assez longtemps a notre gout. Sur le bateau, ils embarquent à l’étage inférieur des cochons, des vaches, des chèvres… on dirait l’arche de Noe! Les cochons n’ont pas le pied marin, ils ont hurlé pendant tout le trajet. Je les aurait bien étranglé…
par chance, le bateau partàa l’heure, à 21h et comble du bonheur, il n’y a pas de karaoké sur le navire.
Il est presque 1h quand on arrive à Tagbilaran mais on avait pensé aà réserver. On se couche en pensant qu’il faudra se lever moins de 5h plus tard pour prendre un autre bateau demain… ma parole, c’est pire que des horaires de boulot! Mais non, je plaisante …
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